|
Un homme perd son emploi et se met à dégringoler.
L'aide sociale l'attend au premier palier, un quartier
défavorisé, au second. Au troisième, la faune de ses
voisins affecte son état mental. Croyant qu'il a des
hallucinations par rapport à son entourage et pour lui
redonner sa banalité objective, il entreprend de le filmer,
en cachette, comme un voleur, de la fenêtre de
son taudis. Une fois développés, plutôt que de le rassurer,
les films le feront passer du désarroi à la
psychose. |